A la première occasion je me connecte et vous fais un truc du style vagadond 2.0 dans la ruralité tahitienne c’était une idée mais voilà… beaucoup de pluie, un pied à terre vite trouvé et pas le moindre réseau ami à l’horizon. Ah il s’en est passé de la marche du côté du pk 36, mais bien sûr pas de cybercafé…
Début d’aventure dans le dur du réel, pouquoi ai-je voulu faire comme si je ne savais pas pourquoi nos rares et chers touristes sont parqués hors sol… M’enfin une fois parti, c’est parti, advienne que pourra, je viens de faire un stop à ma base de départ, en profite pour prendre des nouvelles. J’ai vu notre président sur une télé, comme çà en passant par chez Jacques, je l’ai trouvé changé, comme si au lieu de le démissionner on nous l’avait subrepticement échangé. Ou alors sa maquilleuse.
Ah internet, j’ai eu 8 jours pour me demander ce que je ratais merci à Nourantin de m’avoir rassuré, quoiqu’en passant chez la chute et yoananda, j’ai eu quelques bémols au rien de nouveau sous le soleil.
Il me fallait bien aussi checker mes mails et puis parcourir vite fait l’accueil facebook, je ne vais pas vous embêter mais puisque vous aimez lire, un copain de lycée, qui m’a largué, à moins que ce soit l’inverse, au bout d’une année vient de lancer son over-blog, accrochez bien votre Adblock, le titre est top bien, pour le reste je suis un peu pris par le temps, vous me direz…
Toujours au top mon RSS, merci Fawkes, Et bien le bonjour chez vous :
D’après Anderson, les dangers des smartphones, des tablettes et ordinateurs sont les contenus préjudiciables comme la pornographie, le harcèlement par d’autres enfants et ce qu’ils considèrent comme la pire de tout, la dépendance aux appareils.
Le fondateur de Twitter, Blogger et Medium, Evan Williams, et sa femme, Sara Williams, assurent par exemple qu’à la place d’iPads, ses deux jeunes enfants ont des centaines de livres qu’ils peuvent lire à tout moment.
Une classe bien lointaine… Autant que de kilomètres maintenant ; merci pour la mention. Je vais parcourir ton site qui est bien plus politique que ce que j’offre ; mais bon… nos maréchaux j’offre valent mieux que deux rien…
politique, politique, comme tu y vas!! Pas d’insulte, bien que je comprenne la méprise 😉
[…] Un copain de classe […]