je vous donne des nouvelles.
comme je vous plains. Depuis ma frange.
Alors j’ai planté. De la nourriture qui se multiplie elle-même. Et puis petit à petit j’ai démultiplié en allant à la pêche, plus au fusil sous-marin, la chose étant léthale, addictive et hautement fatiguante. Non, pas moins fatigante mais infiniment plus sure : la pêche en poti marara. Voilà pour le lien, histoire de voir de quoi il retourne. Mon capitaine m’appelle le loup de la jungle mais il a fini par remarquer que je suis aussi un peu seigneur des mers, de ceux qui vont à droite quand tu leur dis à gauche. Et à grands coups de prière scientifique nous allons l’autoroute de la fortune.