Articles Tagués ‘misère ordinaire’

Quand on se pique de raconter une histoire faut se demander si ça l’est, intéressant.

C’était intéressant.

Ah, as-tu été intéressé ?

D’abord c’est déjà arrivé. Pendant la deuxième guerre la côte Ouest des Zuesses a commercé avec Tahiti quelque peu délaissée, sinon par les déserteurs de tous poils.

Ensuite le réseau routier est une farce et les polynésiens de Tahiti comptent leurs pas bien mieux que les heures qu’ils passent à manger devant la télé. Ou devant une rafale de bières. On voudrait pointer quelques contre exemples qu’on y parviendrait mais à quel prix! Déplorer d’accord, mais surtout aller son chemin.

Sur l’affaire du combat contre l’obésité, tant pis si je vous surprend mais j’ai fait des consultations et une dame me dit :

Mon grand fils fait des études supérieures de chimie. Il a un professeur qui leur a dit qu’il ne faut pas manger matin midi et soir mais quand on a faim, ou qu’on doit se préparer pour une activité particulière.

A quel niveau d’étude faut-il monter pour rencontrer UN prof…

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Votre serviteur est de ces pères démissionnés par la distance, volontairement plumitif en matière d’apport pécuniaire, mon ex si tu me lis, voici de mes vraies nouvelles. Aux autres qui avez peut-être jeté un œil à mes centres d’intérêt, voire lu quelques kilomètres de mes paquets de mots, j’écris pour vous principalement, le journal d’un autre parmi toute une foule d’autres certes, cependant, c’est aussi un genre d’aventure !! Parti un peu à l’aventure oui donc j’ai posé mes rêves au dessus du trou 14 de l’international golf d’Atimaono, en pure squatteur parmi les squatteurs.

 

Sauf accident et à cette heure, j’ai mon nouveau lieu qui m’attend un peu plus au fond de la vallée ; les poules n’ont qu’à bien se tenir et les bananiers de Ginette passeront un peu plus régulièrement chez le coiffeur. Voilà pour le cadre.

 

Je veux tout de suite faire état, au cas où d’aucun me connaissant chasseur sous-marin, s’inquièterait de ce que j’exerce toujours, faire état que le lagon est à cet endroit loin du récif mais qu’on y trouve beaucoup de poissons, notamment de délicieux perroquets. Je me suis à force d’aller laissé porter sur un coin devenu mon favori. Je pêche peu, histoire de manger et d’offrir aussi. Au final je pêche souvent.

 

Voilà que ce blog n’émet plus rien de neuf, si tant est que… Faut dire que je vis sans électricité ni sans maison propre dans un quartier rural alors internet et la réinfo… Déjà joli d’avoir une table, une glacière pour s’asseoir ; reste à attendre que le groupe électrogène charge la batterie, je m’en vais vous faire un pti carnet de correspondance. Le temps de quelques photos et la soirée averse promise par la météo a commencé.

 

 

Mon projet est ambitieux et les conditions particulières dans lesquelles je me suis mis m’ont fait avancer dans ma compréhension du concept de gagner sa vie, et que les échecs et les faux départs aient donné de beaux fruits à la veille de l’arrivée de ma fille métropolitaine de 8 ans pour quelques semaines à Tahiti est pour beaucoup dans l’occurrence de ce billet.

 

Par ici, pour peu que tu sois un peu entouré, la nature te donne de quoi bien vivre, parmi toutes ces choses qui changent de la vie salarié j’en chéri une, le tempo.

 

Etre entouré… sous nos latitudes un dicton bien de chez nous s’inverse à ravir pour illustrer la contrainte ilienne. Mieux vaut être mal accompagné que seul. Je peux vous dire que ça donne de fameux tableaux !

 

J’écris donc un peu, me suis payé un peu d’internet, parcouru mes anciens sentiers de lecture, mazette, à 5 Euros de l’heure, j’ai survolé. Quelle misère. Je voudrais bien pouvoir tout lire mais mon nouvel environnement ne s’y prête pas.

 

M’enfin, et du reste, j’ai besoin de repos. Allons-y publions !

 

Que je vous dise, juste avant de m’y mettre j’ai taillé un bananier et lors que j’en découpais un troisième morceaux pour le bien ranger, une vilaine guêpe s’est posée sur ma main gauche. La dernière fois que j’ai eu à faire à cet insecte il était en bande. Los j’ai dévalé la montagne comme un possédé, tressautant à chaque nouvelle piqûre je me suis fait l’effet de ces types dans les films qu’on shoote mais qui refusent de stopper. Je ne vous dis pas le réflexe enseigné dans la douleur ! Là ma serpe a chassé la bête une petite seconde en retard et la piqûre est devenue belle coupure ; merci à mon Ange les dégâts sont très légers en regard de l’engin.

 

J’ai eu de la chance mais j’ai le dos de la main gonflé. C’est marrant ça ne me gêne absolument pas pour patapata (pianoter sur le clavier en tahitien). C’est même marrant à derechef vu qu’en tahitien beurre se dit pata.

 

Ainsi je déménage, je laisse une montagne bien propre sur une hauteur plus que respectable et pour du temps perdu que la chose paraisse, je me suis apaisé en remarquant à nouveau que ce n’est qu’apparence.

 

Pour bel et bon qu’il soit, ce spot où j’ai failli à terminer ma cabane était inadapté à ce projet que j’ai pour les années qui viennent. J’ai pu en trouver un bien meilleur, sans beaucoup plus de garanties de jouissance, mais plus c’est mieux que moins.

 

A l’heure où désormais le temps presse pour offrir à cette enfant qui vient voir son père, un morceau de Polynésie luxuriante que c’est lui qui l’a fait, les choses se présentent bien.

 

Sûrement un effet de ma main gauche enflée, si je savais je vous ferais un poème sur la banane et le ramboutan. La pomme étoile. La pakaille. Les avocats, les citrons les pamplemousses, et encore la banane.

 

Fini la hauteur du trou 14, c’est la joie au cœur que je vais auta (le u se prononce ou). Sur un plateau entouré de brousse, vierge de détritus, antithèse de ce que je quitte, j’y perds du matos de récupération tels bois tôles, vieilles armoires militaires rongées de rouille et déchets ménagers. Traces de civilisation qui sont il faut le souligner mieux rangés que lorsque je suis arrivé…

 

Je ne fais pas la manche lorsque le mois s’étire plus loin que les cordons de ma bourse. Je me suis fait des amis et je profite de ces moments de peu pour augmenter la dose de risque, piquer des chevrettes de nuit dans la rivière très très auta. Dans le lagon flinguer quelques poissons endormis quand la lune n’est pas là, tout ça est essentiellement affaire de météo. Et la liste des possibles est telle que je remercie le sort qui m’a fait arriver là, je dois ressentir des émotions qui ne sont pas dans la chanson d’Ulysse, mais qui l’ont faite.

 

Le principal défaut de ce spot que je laisse, à cheval donné on ne regarde pas les dents, était son voisinage de la route d’accès que tous les riverains empruntent […]. En deux c’est plein sud et ce fait avait conduit mes plans à déplaire. Je n’ai donc jamais pu installer ma grande cloison végétale sur pilotis hauts, merde ç’aurait eu de la gueule.

 

Comme pour poursuivre dans l’antithèse, orienté au levant, le nouveau spot n’a plus de soleil à 14 heures, je vais gagner quelques minutes à la hache.

 

Tout çà rendu possible grâce à une nouvelle bienfaitrice pour voisine, Ginette. Ma présence, je sais comme les choses sont, sera tolérée par la famille tant que Ginette en sera contente. Mais comme elle dit y’aura des jaloux. Alors les choses sont claires si un jaloux vient m’aborder, je lui dis de faire demi-tour et d’aller causer avec Ginette.

 

Je tiens le cadre des vacances de ma petite Eva.

 

Au côté de la maison de mes parents dans la montagne de Pamatai il y a un arbuste qui fait des fleurs blanches, petites, en grappes. A la tombée du jour elles diffusent une odeur qui met un bonne grosse claque à la fleur de tiare. Son parfum à elle a la puissance des Teina, bien trop rares, du moins autour de moi.

 

Piquer les chevrettes c’est remonter la rivière et prospecter les zones de faible courant. La chevrette n’est pas une petite chèvre mais une crevette d’eau douce. Régulièrement, disons plutôt au rythme des cascades, on retourne dans la jungle et là le parfum est proprement envoutant. Dans cette vallée comme du chiendent pousse la fleur savon, elle ne sent presque rien. De texture spongio-gluante elle sert plus à jouer dans la rivière qu’à se laver véritablement. M’enfin votre serviteur a le projet d’en parer sa salle de bains.

 

Je n’ai aucun contact avec Eva mais tout ce que je fais, et défait, quant à mon implantation me fait l’effet d’une répétition avant qu’enfin je la retrouve. Cette petite à qui j’avais souhaité, il est vrai pas à mes frais, une enfance dans la nature océanienne s’en vient jauger de mes progrès pour l’y ramener, en garde alternée comme ils disent. Sauf Trauma on va se faire une balle de camping en famille recomposée, avec « belle-mère » et petit frère (3 ans) ; combien de temps ça c’est suspens pour encore deux mois et des brouettes.

 

Pour le court terme, et ma contribution au piaillement sur la blogosphère, cette entaille au dos de la main va m’écarter de la pêche, plus : je vais soigneusement esquiver de planter mes mains dans la terre le temps de bien récupérer, petits veinards Djefbernier revient vous donner son opinion.

 

Nouvelle formule, interruption pour travaux oblige, je suis hors ligne et cybercafé à la Poste après 4 kilomètres de vélo, un peu d’indulgence mes amis chers lecteurs si vous trouvez que je ne linke pas assez pour être lisible.

 

Mon cher Nourantin, j’ai aimé te voir sur WordPress et lu un peu vite que la résistance pour le pouvoir au bon sens a toujours son porte voix, méchant et fidèle au poste, les pc n’ont qu’à déconner, seule la vie compte (ça c’est du Besson, non pas celui de cette daube de Lucy, celui juste après de le Grand Bleu dans le cinquième élément).

 

Je suis bien enmerdé de ne pouvoir te compter parmi mes dimanches. Et aussi dans le désordre Saucisson Aristide Corto Brebis Lhddt ROR H16, Sannat, Incognitototo, Dessertine, les moutons, Dieudo, Capitaine Enzo, Le buchard, BLH (dans l’ordre pou le coup).

 

La pluie a cessé. Elle m’a donné un bel arc en ciel lors que je respirais à Tatai, face à mon garde-manger.

 

Pour finir il y aurait à dégoiser sur les infos locales, comme de juste y’en a pour tous les goûts. Dans l’air du temps beaucoup de contribuables se plaignent de l’incompétence par ci de l’incompétence par là, et qu’il faut laisser la place aux jeunes, la classe politique servant plus qu’ailleurs de tête de truc. J’ai envie de leur offrir un synonyme, gratos : ignorance.

 


A la première occasion je me connecte et vous fais un truc du style vagadond 2.0 dans la ruralité tahitienne c’était une idée mais voilà… beaucoup de pluie, un pied à terre vite trouvé et pas le moindre réseau ami à l’horizon. Ah il s’en est passé de la marche du côté du pk 36, mais bien sûr pas de cybercafé…

La vie de chien à Tahiti, y'a de quoi en faire des clichés. Là c'est l'odeur qui m'a incité

La vie de chien à Tahiti, y’a de quoi en faire des clichés. Là c’est l’odeur qui m’a incité

Début d’aventure dans le dur du réel, pouquoi ai-je voulu faire comme si je ne savais pas pourquoi nos rares et chers touristes sont parqués hors sol… M’enfin une fois parti, c’est parti, advienne que pourra, je viens de faire un stop à ma base de départ, en profite pour prendre des nouvelles. J’ai vu notre président sur une télé, comme çà en passant par chez Jacques, je l’ai trouvé changé, comme si au lieu de le démissionner on nous l’avait subrepticement échangé. Ou alors sa maquilleuse.


Ah internet, j’ai eu 8 jours pour me demander ce que je ratais merci à Nourantin de m’avoir rassuré, quoiqu’en passant chez la chute et yoananda, j’ai eu quelques bémols au rien de nouveau sous le soleil.

 

Allez un peu rêve...

Allez un peu rêve…

Il me fallait bien aussi checker mes mails et puis parcourir vite fait l’accueil facebook, je ne vais pas vous embêter mais puisque vous aimez lire, un copain de lycée, qui m’a largué, à moins que ce soit l’inverse, au bout d’une année vient de lancer son over-blog, accrochez bien votre Adblock, le titre est top bien, pour le reste je suis un peu pris par le temps, vous me direz…

 


Toujours au top mon RSS, merci Fawkes, Et bien le bonjour chez vous :


D’après Anderson, les dangers des smartphones, des tablettes et ordinateurs sont les contenus préjudiciables comme la pornographie, le harcèlement par d’autres enfants et ce qu’ils considèrent comme la pire de tout, la dépendance aux appareils.


Le fondateur de Twitter, Blogger et Medium, Evan Williams, et sa femme, Sara Williams, assurent par exemple qu’à la place d’iPads, ses deux jeunes enfants ont des centaines de livres qu’ils peuvent lire à tout moment.


La misère bannie du centre ville de Papeete en journée.


Le communiqué se passe un peu de commentaire. Il vaut son pesant de cacahouettes puisque c’est le deuxième du genre et qu’on nous précise, comme dirait l’autre la réalité est têtue, que le précédent arrêté fut, roulement de tambour :


Sans effet réel et probant sur les SDF de plus en plus nombreux qui errent en ville, mendient dans les rues ou dorment sur les trottoirs, parfois en pleine journée.


Sans effet, vraiment ? Si c’est pas triste de voir des gens dormir en journée durant que tout le monde se bat pour gagner sa vie…


M’enfin on nous dit qu’il évite de stigmatiser les SDF et que ça en fait un truc pas vraiment applicable, à lire que la mesure n’a apparemment pas pour but de cacher aux croisiéristes cette misère de mauvais aloi aux abords de leur escale marchande.


Ainsi, «sont interdits tout comportement ou activité de personnes, en mouvement ou en position assise ou couchée, seules ou en groupe, avec ou sans animaux, même tenus en laisse, ainsi que tout dépôt d’effets personnels, de nature à entraver la liberté d’aller et venir, la commodité de passage des piétons, l’accès aux immeubles par les riverains ou, de manière générale, contraires aux textes en vigueur ou de nature à porter atteinte au bon ordre, à la sécurité, la tranquillité et la salubrité publiques». Les lieux où ces comportement sont bannis sont extrêmement précis (voir en encadré) : ils concernent le front de mer, les quelques rues de l’hyper centre et le quartier administratif du gouvernement ou du haussariat. L’interdiction est valable tous les jours, mais seulement de 5 heures à 22 heures.


Voilà après 22 heures vous pouvez revenir…

Rétablir un sentiment de sécurité en bas des immeubles c'est pas si compliqué !!!!

Rétablir un sentiment de sécurité en bas des immeubles c’est pas si compliqué !!!!


Vu en passant piocher dans l’Arche de Brebis


la Terre d’abord !.


Et de la bonne information d’actualité sur une affaire qui embête bien (ou juste en apparence) notre ministre de l’Ecologie


S.Royale et sa mission de « dialogue » où sont-ils??? Les machines continuent de massacrer la forêt par manque de militants et de témoins. Les médias ne sont jamais là quand on se fait latter et gazer. BASTA YA!!!


C’est bizarre en effet. Voilà quelques liens qui vont vous permettre de vous opposer concrètement au sac d’une biodiversité, si vous êtes dans le coin comme ils disent, sauront où vous placer. Quant à ces messieurs de la presse c’est pas de leur faute si on les invite à lever le camp. Les terrains à couvrir sont innombrables…


Bon courage


Concernant le climat de la France au 21ème siècle, je vous conseille pas de leur conseiller celui de H16


Les gens en France n’ont pas compris la véritable dimension du réchauffement climatique, de la problématique écologique, mais comment pourrait-il en être autrement dans un pays où le rejet, la négation de la Nature est si marquée?


C’est un peu méchant alors je laisse la grosse faute d’orthographe. En même temps c’est vrai qu’on demande de la vision à long terme et quand on l’a…


En ce qui concerne l’accusation de climato-sceptisme, je vous renvois à l’excellent site pensée-unique.


Bien sûr si vous êtes en attente de solutions concrètes pour contrer le réchauffement climatique causé par le vilain CO², voyez celle-là, trouvé page 190 du Pdf le réveil du Dragon de Vincent Gouysse (2010)


Dans un article publié par New Scientist à l’automne 2009, on apprend « qu’il est temps de manger le chien ». En effet, l’emprunte carbone provenant de la production de l’alimentation d’un chien de compagnie de taille moyenne est le double de celle du carburant consommé par une voiture 4×4 Toyota Land Cruiser de 4,6 litres de cylindrée roulant 10 000 km par an, tandis que celle d’un chat est identique à celle d’une petite voiture de type Golf. Aux USA, on dénombre environ 61 millions de chiens et 76 millions de chats.


Pourquoi donc, pour ceux qui rechigneraient à manger leur(s) chien(s) ou chat(s), ne pas mettre en place une taxe carbone sur ces animaux de compagnie ? Cela ne serait-il pas plus équitable que de vouloir entraver le développement économique de « pays émergeants » ?…


Ne faisons pas le bilan de tout ce qu’on ingurgite comme saloperies, apparemment, nonobstant les maladies lentes, pernicieuses et afférentes, l’homme m’a tout l’air d’être passablement résistant. Si encore y’avait que par la bouche, pas vrai ? Toujours est-il que je serais bien surpris qu’on continue d’observer un allongement de la durée de vie, ou alors sur quelques échantillons dûment identifiés…


M’enfin voilà que manger du chocolat revient à frapper des enfants à coups de trique, des esclaves qui plus est. Ca commence à bien faire ! 

Bp93vBDCAAACn86Non vraiment, si c’est pas dommage, y’a pas une denrée pour rattraper l’autre. Le prochain génie va nous trouver un truc qu’on peut se goinfrer sans faire mal à quelqu’un, mon avis d’expert il est pas encore né et vu le tour que prend la situation il a toutes les chances de ne pas rencontrer son destin. Le plus simple reste à cette heure le guidon dans le nez et à ce jeu les européens battent records sur records. Force est de constater que l’information tous azimuts créé du trouble, de là à envier ceux qui se cantonnent à la bouillie idiovisuelle y’a un pas que je ne fais pas. Cela dit informé ou pas, idiot ou non mais qu’est-ce qu’on va bouffer demain ?


Pardon au lecteur égaré par ces avalanches de caractères sans contenu informatif : l’article super long planète Terre planète désert vous l’avez tenté ? Pour ne pas trop s’apesantir sur la souffrance des petits africains et plutôt trembler, au hasard, pour son avenir à soi, il est plutôt très bien structuré. Et pour ceux qui comme dit la formule sont intéressés y’a de quoi creuser, on trouve vite du pétrole…

ARTE – Le documentaire « La face cachée du chocolat » dénonce le travail des enfants dans les plantations – Connectionivoirienne | Connectionivoirienne.